SURFERS PARADISE
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 You're my one only bottle on the wall - ft. Jolene

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Jax Hurton

Jax Hurton


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MessageSujet: You're my one only bottle on the wall - ft. Jolene   You're my one only bottle on the wall - ft. Jolene EmptyMar 28 Jan - 16:30

Sur les nerfs après que sa mère ait insisté pour qu’il se réconcilie avec son père, Jax avait décidé d’abandonner le pub le temps d’aller surfer quelques vagues. Il savait qu’il était déconseillé de surfer une fois la nuit tombée mais ce soir il devait avouer qu’il n’en avait cure. Il n’y avait que sa planche et le bruit des vagues se jetant contre les rochers qui parvenait à le calmer. Lorsqu’il surfait, plus rien ne pouvait l’atteindre, il se sentait libre, seul au monde, déconnecté du reste de la planète et en union parfaite avec la nature. Il reste dans l’eau une bonne heure avant de décider de reprendre le chemin du pub. S’il ne voulait pas qu’Abigail l’engueule, il se devait d’assurer sa charge de travail. Elle en faisait déjà beaucoup pour lui en se chargeant du côté administratif de leur petite entreprise, il fallait que de son côté il se montre à la hauteur. C’était d’ailleurs quelque chose qui l’effrayait – sans qu’il ne l’avoue à personne – l’idée de décevoir Abigail ou n’importe quel membre de son entourage proche. Il pouvait se donner des apparences de mec cool et je m’en foutiste mais au final l’opinion des personnes qu’il aimait lui était vital. Il s’était toujours donné pour mission de faire ce qu’il souhaitait dans la vie, de ne pas se soumettre à la volonté ou aux rêves d’autrui, pour autant il savait que si sa sœur avait désapprouvé ses activités, il aurait remis en question sa vie dans la seconde. Il essayait donc de trouver une balance entre sa carrière de surfeur et de patron de pub pour n’essuyer aucun échec et ne jamais lire la déception dans le regard de ses proches.
Se glissant de nouveau derrière le comptoir de son pub, un regard circulaire vint le rassurer. Comme presque tous les soirs de la semaine l’établissement était plein à craquer et l’ambiance était au rendez-vous. Jax et Abigail avait toujours réussi à maintenir un climat chaleureux, presque familial, dans leur pub et il n’acceptait aucune violence ou comportement déplacé. Le videur près de la porte d’entrée était d’ailleurs là pour s’en assurer. Se servant une pinte de Guinness, l’irlandais sourit à la jeune femme qui se frayait un chemin vers lui. Jolene Malone. Un sacré bout de femme sans laquelle son quotidien aurait été bien morne. « Ce sourire et ce décolleté étaient tout ce qu’il manquait à ce bar. » Lança-t-il en guise d’accueil à la jeune femme. Il savait qu’une telle remarque aurait pu en offusquer plus d’une, mais il connaissait assez bien Jolene pour savoir que ce ne serait pas son cas. Au contraire, elle serait sans doute flattée de ces quelques mots. Il vida d’une traite la moitié de sa pinte de bière avant de la reposer derrière le comptoir. « Je te sers quoi belle étrangère ? » Il n’était pas difficile de noter que beaucoup de regards masculins s’étaient focalisés sur la brunette depuis qu’elle avait franchi le seuil de la porte, c’était inévitable, et cet effet qu’elle avait sur la gente masculine faisait toujours sourire Jax. Ces hommes ne savaient pas à qui ils avaient à faire. Si l’un d’eux s’était frotté à la belle comme à une vulgaire poupée gonflable il l’aurait sûrement regretté bien vite. « Tu m’as posé un lapin hier. » Lâcha-t-il, feignant d’être vexé. Jolene avait évoqué le fait qu’elle passerait peut-être la veille mais ne l’avait pas fait. Ce qui était habituel chez la jeune femme qui vivait selon ses envies, à la manière de Jax, mais l’Irlandais aimait la taquiner sur le sujet.
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Jolene Malone
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Jolene Malone


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MessageSujet: Re: You're my one only bottle on the wall - ft. Jolene   You're my one only bottle on the wall - ft. Jolene EmptyLun 3 Fév - 16:21

Du cambouis plein les vêtements, et le visage tâché d'huile de vidange, Jolene faisait peur à voir mais se fichait éperdument de son apparence. Habituée à passer ses journées  le nez dans le capot des voitures, elle ne prêtait plus tellement d'attention au reste, complètement obnubilée par les mécanismes complexes des véhicules. Contrairement aux jeunes femmes de son âge, qui occupaient une grande partie de leur temps à faire les boutiques, ou s'égosiller sur tel ou tel ragot, elle préférait trainer dans un garage miteux, et se salir les mains. Par conséquent il était rare de l'apercevoir flâner en ville dans les magasins, ou mieux encore de la voir en robe. Non pas que ce ne fut pas sa tasse de thé, mais les shorts en jean et les petits débardeurs qui constituaient 90% de sa penderie étaient davantage confortables. De plus, éviter de flâner en ville était d'autant plus appréciable en ce sens où, cela lui permettait d'éviter de fréquenter des personnes de son âge, dont le seul centre d'intérêt se limitait aux garçons, ou plutôt les spécimens blonds qui surfaient tout les matins. Plus proche de ses condisciples masculins, elle se sentait plus à l'aise à parler cylindrées et poker, plutôt qu'échanger des potins sur la dernière célébrité en vogue. Il n'y avait qu'une chose à laquelle elle ne pouvait cependant échapper : c'était être la cible des dits potins. Ne faisant rien comme tout le monde, et ayant très rapidement embrassé un style de vie particulier, il n'était pas rare qu'on vienne casser du sucre sur son dos. Tant que cela n'arrivait pas à ses oreilles, tout se passait très bien, mais si par malheur il lui arrivait de connaitre la personne derrière ces affabulations, alors, il pouvait lui arriver d'être violente. Deux ou trois fois dans sa vie elle en était venue aux poings, une expérience qu'elle préférait ne pas renouveler de sitôt, d'une part car c'était mauvais pour les affaires, et d'autre part, car elle avait peur d'y prendre gout.

Quoi qu'il en soit, très régulièrement, elle se rendait au Molly Malone's Bar en milieu de soirée afin de décompresser un peu. Une sorte de rituel bien rodé dont elle ne pouvait malheureusement plus se défaire. En règle générale elle restait jusqu'à la fermeture et se faisait raccompagner par Jax, à moins de rencontrer un homme qui lui avait particulièrement tapé dans l'oeil, ce qui, il fallait le préciser était extrêmement rare. Non pas qu'elle fut difficile, mais elle ne semblait attirer que les pequenauds du coin, ou les amoureux transis, l'un comme l'autre, elle n'y trouvait pas son compte. Au delà d'être sauvage, Joelene était indépendante, et refusait de s'enfermer dans une relation quelque soit sa nature. Cela ne pouvait se conjuguer avec certaines de ses occupations, et elle n'était pas le genre de personne que l'on pouvait qualifier de petite amie idéale. Avec Jax, cependant, les choses étaient différentes; ce qu'ils partageaient ne trouvait pas son sens dans les mots communs. En réalité, ils se contentaient de se fréquenter régulièrement, partageant certaines affinités de caractères, et une complicité particulière. Elle lui passait tout, et il la respectait. Ni plus, ni moins. Bien sur, ils avaient déjà couché ensemble, plusieurs fois même, mais cela ne changeait strictement rien à leur lien, il n'y avait aucune ambiguité. En tout cas, à ses yeux, c'était une évidence. « Un jour il faudra que tu songes à me remercier pour tout les clients qu'ils te rapportent. Tu n'imagines pas le boulot qu'il y a en amont. » Étouffant un ricanement, elle s'imposa près du comptoir, et s'installa sur un des tabourets libres, scrutant son ami avec affection. « Une bière brune fera l'affaire… pour commencer. » Jolene lui fit un client d’œil malicieux, et entreprit de scanner la foule de ses pupilles bleues inquisitrices. Les regards qu'elle avait suscité en entrant ne lui avaient pas échappé, mais il s'agissait désormais d'une habitude, et elle tâchait de ne pas y faire trop attention. Là où certaines filles étaient prêtes à se damner pour recevoir autant d'intérêt, la jeune femme, elle, ne désirait que leur foutre un coup de poing en plein estomac. Histoire de rétablir un peu l'équilibre. Si son visage poupin pouvait prêter à confusion, de même que son petit chemisier pastel noué, il fallait se méfier de l'eau qui dort. « Oh c'est qu'il serait vexé en plus… » Un sourire se dessina sur ses lèvres. « Ce soir si tu es sage, tu auras peut être le privilège de me voir chez toi. En attendant, je commence à mourir de soif. » Elle tapa d'un coup sec sur le bois, les sourcils froncés, et l'air faussement énervée, avant de poursuivre. « Pourquoi n'y a t-il pas de musique dans ce fichu bar ? » Pour une fois qu'elle souhaitait danser, et faire preuve de féminité, on lui coupait l'herbe sous le pied
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